Avec AuRAil, le président de la métropole de Clermont Auvergne demande un meilleur service hors zones denses
La Rédaction
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Olivier Bianchi, également maire de Clermont Ferrand, ne s’était jamais positionné sur le ferroviaire auvergnat, hormis ses participations récentes aux actions concernant la ligne Intercités Clermont Paris, comme par exemple les “trains de la colère” au printemps 2025. Bien que sa collectivité ne détienne pas la compétence du ferroviaire, les habitants de Clermont et sa métropole sont directement concernés par la desserte en train. De même le chapeautage de la part de la métropole de tout le réseau urbain bus + trams, réorganisé récemment avec l’opération “Inspire”, ainsi que l’annonce pour 2028 de la première phase du SERM Clermontois oblige le président de Clermont Auvergne à réfléchir sur les interconnexions entre les différents réseaux.
Olivier Bianchi
En fin connaisseur de l’état du réseau ferré du massif central, son père travaillait par exemple sur la ligne des Causses Clermont Béziers, il lui est paru évident que le moment était venu de tirer la sonnette d’alarme, avec les organisations locales de défense du train, sur le niveau médiocre de l’infrastructure au sud, à l’est et à l’ouest de la capitale des Arvernes, sur le niveau très bas du service TER proposé aux auvergnats. Un ensemble structurel qui alimente Clermont.
Il nous a donc invité à se retrouver ce mercredi 10 décembre en gare, en halte plutôt, de Pont-du Château, sur l’ancienne ligne Clermont Saint-Etienne, pour rappeler devant la presse, le travail de nos diverses organisations, et parmi elles, la fédération Agir pour la ligne Clermont Ussel Tulle (AuRAil et #enTrain), l’association Letrain634269 (AuRAil), AdelifPaLy (AuRAil), le collectif ds Usagers des transports du haut Allier (AuRAil et #enTrain), l’association Destination Trains de nuit (#enTrain), mais aussi l’association Amiga (#enTrain) ou Auta (Fnaut).
Profilé de la halte de Pont du Château
Tous nous pûmes exprimer les attentes citoyennes pour un service de trains digne autour de Clermont Ferrand. Nous ne voulons pas que l’ancienne capitale régionale se transforme en cul-de-sac ferroviaire. Bien que tout soit fait pour isoler ce pays, au vu dernièrement de la polémique sur le tracé du Lyon Bordeaux dont le passage a été préféré via Paris par les stratèges de la SNCF.
Nous dirons tout celà une nouvelle fois à Jean Castex le PDG de SNCF qui vient à Clermont mardi 16 décembre.
L’article ci-dessous de La Montagne :
L’article du Parisien du 12 décembre :
